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Les sculptures d’Olivier Cadilhac se présentent d’abord comme de vastes cerceaux rongés par la rouille du temps, posés au mur,
au milieu desquels  de petites silhouettes à peine suggérées,  semblent flotter dans cet espace courbe.
On découvre par ailleurs  des pièces filiformes qui semblent elles, vouloir s’échapper vers une hauteur infinie.
Ce travail, fruit de six années passées à Vienne évolue vers une recherche de la simplicité qui confine à l’épure , de l’équilibre même si
celui-ci semble toujours prêt à se rompre.
La constance, c’est ensuite une référence à la fois discrète et omniprésente : l’Afrique.
Jamais copié, jamais cité, l’art africain est ici suggéré et assimilé.
Il n’est besoin que de donner l’exemple de ces longues tiges d’acier lesquelles évoquent immanquablement
les sagaies du chasseur africain et au-delà, l’Elancé, cet idéal d’homme longiligne, chanté par Leopold Sédar Senghor.

Une invitation au voyage et à la simplicité.

Gilles Gourbin

Exposition à l’Institut Français de Wien – Austria,  2000

 

 

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